- L'assessorat régional sicilien des Infrastructures, de la Mobilité et des Transports a confirmé que la compagnie de navigation Tirrenia a abandonné le port de Trapani en supprimant la liaison avec Cagliari. Il l'a annoncé le Nouveau Consortium du Port de Trapani, la société coopérative récemment constituée d'opérateurs de l'escale portuaire trapanese qui le mois passé s'était tournée à l'assessorat pour solliciter une intervention dans l'événement. Le Consortium a précisé que dans une note, à signature du dirigeant du service 2, Dora Piazza, la Région Sicilienne explique que la proposition de modification de la convention demandée de Tirrenia « a été approuvée avec D.M. 361 du 4 septembre 2014 » du Ministère des Infrastructures et des Transports, de je concerte avec le Ministère de l'Économie et des Finances, avec le consentement de la Région Sicile et de la Région autonome de la Sardaigne, vu que « elles n'ont pas été reconnues de conditions ostative aux rimodulazione des organisations ».
- « En somme - il a remarqué le Consortium - la compagnie de navigation a demandé et a obtenu la suppression de la traite Trapani-Cagliari parce qu'antiéconomique, en augmentant la puissance de fait la ligne Palerme-Cagliari. Selon Tirrenia, qui gère les liaisons en régime de convection publique avec l'État pour garantir la continuité territoriale avec les îles, en percevant la somme de 72 millions d'euro, cette opération fera épargner million d'euro an ».
- « En réalités - il a souligné le Consortium - la distance entre Palerme et Cagliari est de 217 milles marines, pendant que celle parmi Trapani et Cagliari est de 176 milles marines, avec une différence environ de 41 milles qui indique clairement pour la traite de Trapani une réduction environ de trois heures de navigation et donc d'une épargne considérable en termes de temps pour les usagers et de coûts pour la compagnie ».
- Le Consortium s'est rappellé de « que la ligne Trapani-Cagliari s'était transformée en tant que rémunératrice à peu rentable pour Tirrenia, l'avait dénoncé même le Nouveau Consortium du Port de Trapani qui, nombres à la main, en avait expliqué pourquoi. Le problème - ils avaient souligné les opérateurs portuaires des trapanesi - est né en 2009, lorsque Tirrenia décidées, sans quelque motivation apparente, de déplacer l'embarquement de Trapani pour la Sardaigne du mardi à la dimanche, le jour où les moyens lourds et donc les marchandises ne peuvent pas voyager. De cet instant dans ensuite la traite il a enregistré un net baisse de trafics : elle a descendu du cinq mille demis lourds transportés en 2008 aux 1.100 du 2013. Même chose pour le trafic auto et passagers : en 2008 on a enregistré 8.300 passages, dans le 2013 à peine 3.000 ».
- « Peut-être, donc, plus qu'un cas - il a dénoncé le Consortium - a-t-il été mise en acte de Tirrenia une véritable stratégie pour convaincre le Ministère, la Région Sardaigne et la Région Sicile qui était plus que fondé motive pour lequel on a abandonné la traite de Trapani et on a-t-il doublé celle de Palerme ? Nombres, faits et détails circonstanciés, dont le Nouveau Consortium du Port de Trapani on avait fait chargé, inascoltato, dans une demande d'intervention urgente au président de la Région Sicile et à l'assesseur compétent pour qu'il était rétabli le statu quo existant jusqu'à 2009. Aujourd'hui l'amère confirmation : pas seulement la Région n'interviendra pas sur la question, mais il a déjà approuvé, sans exécuter certaine vérifie technicien ou compare économique, la demande de Tirrenia parce que « il n'a pas relevé de raisons ostativi » aux modifications revendiquées de la Compagnie de navigation, en avalisant en outre une « contextuelle modification en augmentation des tarifs » ».
- « Nous apprenons avec regret - il a conclu le Nouveau Consortium du Port de Trapani - que nos soupçons étaient plus que fondés. La Région Sicile a approuvé une ultérieure opération de marginalisation et d'appauvrissement de la ville de Trapani sans ne pas consulter les opérateurs portuaires trapanesi et surtout sans se préoccuper des retombées occupationnelles qui cette décision pouvaient comporter. Nous avons été les uniques à lancer l'alarme et à nous rebeller contre les décisions qui pleuvoir d'en haut sans quelque justification. Nous continuerons à faire lu'avec ponctualité et détermination. Mais nous nous demandons : en étant ainsi les choses eten n'ayant pas n n'ayant pas quelque représentant politique local qui nous supporte, à quel nous devrons nous tourner pour défendre les intérêts de notre port et de notre territoire ? »
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